Il n'est pas question d'images vraies, mais d'une représentation (plus) tenace et continue. La télévision, le cinéma et autres imageries publiques renferment l'histoire officielle, tandis que le présent-qui-passe non archivé ressemble plutôt à une version non officielle de l'histoire ou à la mémoire privée, dont les traces se retrouveront peut-être par la confrontation entre les deux.

D'après Laura U. Marks dans A Deleuzian Politics of Hybrid Cinema